Pourquoi apprendre l’espéranto?

Si vous vous ennuyez et aimez voyager, vous devriez alors apprendre l'espéranto. Car, où que vous alliez, vous vous ferez des amis qui vous feront découvrir leur pays. Les globe-trotters, les adeptes d’Interrail, quiconque souhaite s’imprégner d’autres cultures et des pays du dedans grâce à des contacts personnels peut le faire grâce à une langue commune.

100 revues

Il existe environ une centaine de revues en espéranto dont des revues spécialisées ou culturelles. Des stations radios en Pologne, au Brésil, en Chine, à Cuba, en Estonie, en Hongrie, en Italie et au Vatican, entre autres, émettent régulièrement des émissions en espéranto.

Un avantage de l'espéranto est qu’on peut soi-même l’apprendre à l’aide de bons manuels. Des cours sont également donnés dans de nombreux pays.

Une condition à des études de langue réussies consiste à pratiquer régulièrement la langue. La répétition est mère de toute étude.

Vous pouvez faire un geste pour l’humanité

Vous pouvez contribuer à ce que l'espéranto devienne la langue de travail de l'Union européenne. Les profits seront extraordinaires si nous réussissons.

Les coûts de l'Union européenne se trouveront réduits de plus d’un milliard d’euro par an. En 2003, les coûts dus à la multiplicité linguistique étaient de l’ordre de 700 000 000 euro. Lors de l’élargissement de l'Union européenne en 2004, ces coûts dépasseront le milliard.

En outre, nous nous dirigerons vers un monde meilleur puisque les conditions d’un dialogue entre les peuples et pas seulement entre leurs dirigeants seront considérablement facilitées. Lorsque les ouvrages spécialisés, résultats des recherches scientifiques, modes d’emploi … seront rédigés en espéranto, notre terre sera plus prospère puisque les ingénieurs, les professeurs des petits pays pourront suivre les évolutions du monde scientifique et culturel.

«Dans les deux générations à venir, nous connaîtrons probablement plus de changements dans le monde que nous n’en avons connus depuis la naissance de Jésus». Gunnar Adler-Karlsson, économiste et professeur en sciences humaines.

«Si nous ne voulons pas aller à reculons, nous devons courir» - Pelagius.


© Hans Malv, 2004